Si nos Élites politiques étaient en phase avec la technologie et la société d'aujourd'hui!
Ils n'ont pas pris conscience de l'arrivée d'une nouvelle génération de robots qui va faire rapidement doubler puis tripler le chômage.
C'est arrivée est certaine, les riches puissants qui se réunissent à  Davos s'en sont inquiété en janvier 2016. Leur soucis est terrible : comment continuer à  vendre de plus en plus leur pacotille pour continuer d'être de plus en plus riches quand tous seront chômeurs et très pauvres ?
C'est effectivement le problème qui les préoccupe. Encore une chance qu'ils aient fini par apprendre qu'il ne fallait pas tuer la poule aux œufs d'or, même si ses œufs sont en fer blanc,s pourvu qu'elle ponde bien. En fait avec la folie des crédits subprimes les banques américaines qui crurent pouvoir s'enrichir en ruibant leurs clients avaient même oublié ce principe.
L'agriculture devrait nous alerter, en cent ans le nombre de travailleurs agricoles a été divisé par 10. Les machines les ont remplacé. La même chose est en marche dans l'industrie et avec les progrès de l'informatique et de l'intelligence artificielle même dans le secteur tertiaire des bureaux et administrations.
C'est un immense progrès qui débarrasse les humains des tâches secondaires répétitives, en un mot des corvées. Mais encore faudra-t-il s'organiser.
En ce moment avec le chômage croissant on épuise une partie de la population au travail en lui prélevant de plus en plus d'argent pendant que les autres, désœuvrés, regardent.
Il faut PARTAGER le TRAVAIL et aussi PARTAGER les salaires. Si la compétition internationale ne permet pas un salaire convenable alors protégeons nous des excès par des accords internationaux intelligents et des aides aux pays pauvre pour qu'ils puissent augmenter leur niveau de vie à  un seuil décent.
Il y avait eut un bon début avec les 35 h. et maintenant il faut passer à  30 h. alors qu'ils veulent remonter à  40 !
Il faut passer à  30 heures de travail par semaine et pour ne pas pénaliser les entreprises il faut que l'état prenne à  sa charge l'écart de salaire au niveau des petits salaires jusqu'à  3 SMIC de sorte que les salariés soient autant payés sans que les entreprises soient pénalisées. Au delà  de 3 SMIC des accords seront à  négocier.
Le financement de ce complément de salaire se ferra par les économies dues grâce à  la diminution du nombre de chômeur et par de nouvelles taxes en particulier sur les robots et sur les bénéfices déclarés à  l'étranger par les multinationale. Evidemment ce sera compliqué pour empêcher la fuite de l'industrie, là  encore des accords internationaux seront nécessaires.
Le problème est mondial il devra être traité au niveau mondiale et les français seront honorées de commencer une fois de plus les premiers.